Les nuits blanches d’Arkhangelsk ne finissent pas. Les artistes ont rempli le vide sidéral d’une ville qui me semblait morte la première fois. Les rues se sont un peu animées et suis allé y voir, parfois surpris, d’autres fois éberlué, souvent ému. Il faut avoir du cœur pour imaginer qu’il est toujours possible de donner du bonheur aux gens surtout en les bousculant. Il y a des fous qui y croyaient : Pascal, Doumé, Boubouche, Viktor, quelques autres. Moi, ilLire la suite